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Escapade chartraine

Proposée par Djinnkriss
 
Date et lieu
La sortie s'est déroulée à
28000 CHARTRES,

le Samedi 28 juin 2008 à 10:00.

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DescriptionPour ce dernier samedi de juin, je vous invite à découvrir avec moi le charme et la gaité de cette belle ville de Chartres, capitale de la Lumière et du Parfum, située à quelques 88 kms de Paris.

Chartres a deux merveilles, la cathédrale bien sûr, et un modeste pavillon à la périphérie de la ville, dans le quartier Saint-Chéron : la maison Picassiette.

Qu'à cela ne tienne nous commencerons justement notre visite par la maison Picassiette, à 11 heures précises (visite toutes les demi heures par groupe de 10 personnes)

Elle est l'oeuvre d'un seul homme, Raymond ISIDORE, né le 8 septembre 1900. Il construisit, en 1930, un simple pavillon et consacra ensuite vingt-cinq années à le transfigurer en un véritable joyau qu'il enrichit, encore et encore, de cours et de jardins qu'il décora inlassablement. Labeur de 29 000 heures pour lequel il manipula 4 millions de débris de vaisselle, soit 15 tonnes... Tout est propice à son art : les pots de fleurs, la TSF, la machine à coudre de son épouse, le lit, ... La maison devient une immense mosaïque.

Aujourd'hui ce chef d'oeuvre d'un artisan solitaire suscite chez la plupart des visiteurs un état d'euphorie et un étrange sentiment de dépaysement.

Homme simple, de condition très modeste, sans instruction, vivant presque en marge de la société, Raymond ISIDORE était un personnage hors du commun. Architecte, artiste, il avait la foi des bâtisseurs de cathédrales. Sa demeure est à l'image de son esprit.

La maison Picassiette a été classée monument historique en 1982.
http://www.art-insolite.com/pageinsolites/insopicassiette.htm


Après cette débauche d'efforts contemplatifs nous irons nous requinquer par 'un déjeuner sur l'herbe'' ou pique-nique, c'est selon, (pique-assiettes s'abstenir ) à l'ombre d'un des nombreux jardins arborés qui bordent la cathédrale.

Puis pendant la sieste, à bord du petit Chart'Train (circuit commenté de 35 minutes) nous nous laisserons conter l'histoire de la vieille ville, tout en serpentant discrètement dans les rues pittoresques qui portent les noms des métiers qui se pratiquaient le long de la rivière. Chemin faisant et sans se fatiguer, (oh comme je vous connais bien ! ) nous admirerons les joyaux de l'architecture religieuse.

Enfin à 15 heures, nous terminerons bien évidemment cette journée éreintante par la visite guidée de la cathédrale et de sa crypte.

Haut lieu spirituel et artistique, la cathédrale de Chartres inspire depuis des siècles la ferveur des pèlerins et des visiteurs. Depuis le XIIe siècle, la cathédrale a reçu des millions de visiteurs.
Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1979, considérée comme le modèle des grandes cathédrales gothiques, triple joyau d’architecture, de vitrail et de sculpture, la cathédrale de Chartres figure parmi les cathédrales gothiques les mieux conservées de France. Elle est l’expression de la chrétienté en Occident du moyen-âge.

Son architecture est fascinante : une véritable dentelles de pierre où se croisent arcs-boutants, flèches des tours, pinacles, gargouilles, roses et rosaces. Une architecture de la lumière héritée des songes de l’abbé Suger à Saint-Denis où les baies s’étirent en hauteur pour laisser place aux vitraux en parfait état de conservation qui concourent à la beauté et au prestige du lieu.

Eclairée de quelques 170 vitraux représentant une superficie de 2600 mètres carrés, la cathédrale de Chartres réunit le plus vaste ensemble de vitraux médiévaux au monde qui brillent de leur éclat d’origine grâce aux campagnes de restauration successives.

Enfin, son programme sculpté réparti autour du Portail Royal et de la vision d’un Christ en majesté reste un exemple du genre.
http://www.linternaute.com/sortir/sorties/architecture/cathedrales/chartres.shtml

Labyrinthe de la cathédrale de Chartres

Le labyrinthe de Chartres, œuvre du XIIe siècle, est une figure géométrique circulaire inscrite dans toute la largeur du pavage de la nef principale, entre les troisième et quatrième travées. Elle représente un tracé continu déployé de 261,55 m, partant de l'extérieur et aboutissant au centre, en une succession de tournants et d'arcs de cercles
concentriques. Une de ses particularités est que, partant du centre ou de l'extérieur, le chemin parcouru présente exactement le même enchaînement de tournants et d'arcs de cercle.

Le labyrinthe serait un chemin symbolique qui mènerait l'homme de la terre à Dieu ; un chemin où l'homme irait à la rencontre de Dieu. Le centre de cette grande figure symbolise la Cité de Dieu. La démarche du labyrinthe ne consiste pas seulement à aller jusqu'au centre mais à en repartir. Le pèlerin est invité à emprunter la ligne tracée face à lui pour monter vers le chœur de la cathédrale, vers l'orient, vers la lumière (il évite aussi un voyage, souvent dangereux, sur les lieux saints).

C'est un lieu réputé en géobiologie (radiesthésie).

Participants

Ils étaient 2 participants



[La liste des personnes ayant participé à la sortie n'est visible que des personnes inscrites]


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