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Deux jours a tuer

Proposée par Ya el
 
Date et lieu
La sortie s'est déroulée à
UTOPIA TOURNEFEUILLE,

le Mercredi 09 juillet 2008 à 19:15.

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DescriptionJean BECKER - France 2008 1h25mn - avec Albert Dupontel, Marie-José Croze, Pierre Vaneck, Alessandra Martinez, François Marthouret... Scénario d’Eric Assous, Jean Becker, Jérôme Beaujour et François d’Épenoux, d’après son roman.

Du 21/05/08 au 22/07/08 à Tournefeuille

Par l’habituellement sage et bucolique Jean Becker (son dernier film était l’épicurien Dialogue avec mon jardinier), voici un film un peu moins sage et bucolique, encore que la dernière partie, balade irlandaise, soit un vrai régal pour les amoureux de nature en majesté…
Ce serait l’histoire d’un ras-le-bol, d’un pétage de plombs, d’un grand coup de pied dans la fourmilière du conformisme et de la petite vie tranquille… Mais ce serait autre chose aussi, de plus secret, de plus enfoui, de plus émouvant.
C’est en tout cas le portrait en pétard d’Antoine Méliot, la quarantaine jusque là comblée, qui décide un beau jour de tout envoyer valser : il vend à son associé ses parts de leur boîte de pub, non sans avoir au préalable ridiculisé l’un de leurs plus gros clients, fabricant de yaourts pourtant très bons pour la santé ; il envoie paître – enfin ! – sa belle-mère, insupportable bourge qui lui tape sur les nerfs depuis des années ; il sabote consciencieusement sa fête d’anniversaire, déballant à ses amis les plus proches les quatre vérités pas piquées des hannetons qu’il n’avait jamais osé leur dire ; et il va même jusqu’à se montrer odieux avec sa femme et ses deux gamins, qu’il adore pourtant, même que l’harmonie de leur famille était un modèle pour tous…

Tout ces débordements de franchise furieuse, cette cure de sevrage de l’hypocrisie sociale nous valent quelques moments assez réjouissants, portés par un Albert Dupontel qui excelle dans le rôle du gars qui n’en a plus rien à faire de rien et s’en donne à cœur joie dans le dézinguage non contrôlé… Et puis on commence à se poser des questions sur le pourquoi du comment de ce comportement certes défoulatoire, jubilatoire, mais qui ressemble aussi à un saut à l’élastique sans élastique, à un suicide social et affectif. Ça cache quelque chose comme dirait l’autre. Oui, mais quoi ?

Participants

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