Bienvenue sur Ami(e)Z, un site réalisé par des internautes pour les internautes.

Oups !
Mon espace

AmieZ, C quoi ?

Inscrivez vous.

L'inscription ?
Gratuite !

L'utilisation ?
Gratuite !

L'inscription aux sorties ?
Gratuite !

La publicité ?
Pas de ça chez nous !

La rentabilité ?
On préfère la générosité !

Inscrivez vous.


Expo gainsbourg 2008

Proposée par Lazizette
 
Date et lieu
La sortie s'est déroulée à
CITÉ DE LA MUSIQUE,

le Dimanche 07 décembre 2008 à 14:30.

Participer à cette sortie

Pour participer à cette sortie, il fallait être inscrit sur AmieZ

Inscrivez-vous

C'est gratuit, et c'est sans pub !

C'est bon esprit quoi... !


Avec AmieZ, on va se rencontrer... !
Sortir sur ()

Descriptionje vous propose l expo Gainsbourg 2008

http://www.cite-musique.fr/gainsbourg2008

Le Musée de la musique consacre une exposition à Serge Gainsbourg à l’heure où sa popularité prend une envergure internationale. Tandis qu’à Londres et à New York, la pop contemporaine redécouvre les talents de poète et de mélodiste du French artist, Tokyo connaît une véritable « gainsbourgmania », mixant et samplant ses compositions.

Le commissariat de l'exposition a été confié à l'artiste et illustrateur sonore Frédéric Sanchez. Tranchant avec les usages, à mi-chemin entre une exposition et une installation, le projet est l'hommage d'un artiste d'aujourd'hui à l'une des grandes personnalités musicales françaises du XXe siècle.

Tour à tour peintre, écrivain, poète, auteur, interprète, compositeur, acteur, réalisateur, Serge Gainsbourg (1928-1991) fut un artiste qui, sa vie durant, a utilisé l'image, et la sienne en particulier, sous toutes ses formes, donnant à voir un univers esthétique qui abolit les frontières des « arts majeurs » et des « arts mineurs ». L'exposition met en valeur les différents aspects de cette oeuvre protéiforme, dont la particularité fut d'avoir été pendant quarante ans, à l'instar de celle de David Bowie en Angleterre ou de Bob Dylan aux États-Unis, un catalyseur des époques qu'il a traversées. Gainsbourg fut toujours en avance sur son temps : son écriture, ses compositions, ses collaborations, ses orientations esthétiques et même la conduite de sa vie privée ont bien souvent précédé et influencé l'évolution des moeurs et celle des mouvements artistiques et culturels. Chez Gainsbourg, sampling, mixage, remixage, emprunt, citation, autocitation et détournement prédominent, en préfigurant les images et les sons de la culture d'aujourd'hui.

En partenariat avec l'Institut national de l'audiovisuel (Ina)

La période bleue (1958-1965)
Avec humour, Serge Gainsbourg a qualifié a posteriori de « période bleue » ses années du début imprégnées du jazz et des rythmes africains, du réalisme en chanson et de l'existentialisme germanopratin. Alors qu'il est pianiste de bar, Gainsbourg connaît un véritable choc face à Boris Vian et décide de monter sur scène. Révélé par Michèle Arnaud aux Trois Baudets, il « chante l'alcool, l'adultère, les voitures qui vont vite, la pauvreté, les métiers tristes », comme l'écrit Marcel Aymé sur la pochette de son premier 33 tours.

Les idoles (1965-1969)
Le succès de Poupée de cire, poupée de son qu'offre Serge Gainsbourg à France Gall opère un tournant dans sa vie d'artiste. Il abandonne la scène qu'il laisse aux idoles yéyé pour devenir un compositeur prolifique qui fait chanter les autres. En 1967, il compose plus d'une centaine de titres et passe ainsi du statut de poète de cabaret à celui de directeur artistique. Qui est in, qui est out : c'est l'époque de la jeunesse et de la vague anglaise, la fin des chansons réalistes.

La Décadanse (1969-1979)

Le scandale de Je t'aime moi non plus ouvre une période de dix ans d'intense création. C'est dans l'univers noir d'astrakan de son hôtel de la rue de Verneuil que Serge Gainsbourg compose une série d'albums-concept qui abordent, à la manière des dandys fin de siècle, les thèmes de l'amour-poison, du meurtre passionnel, de la perversion et de la scatologie. L'Histoire de Melody Nelson, Vu de l'extérieur, Rock around the bunker, et L'Homme à tête de chou participent d'un univers de « la couleur du smoking » où le cynisme des paroles et le raffinement des mélodies.

Ecce Homo (1979-1991)

Les années quatre-vingt s'ouvrent sur un nouveau scandale, celui de la version reggae de La Marseillaise, où Serge Gainsbourg se réapproprie le chant patriotique français en lui donnant les couleurs de la Jamaïque. C'est ensuite à New York qu'il édite Love on the beat. Cette période, marquée par le mixage des cultures, des genres et des modes, est celle de la signature pour Gainsbourg : il écrit des titres pour les plus grandes stars du cinéma français, et impose une marque de fabrique dans la publicité, la photographie et le cinéma underground. Gainsbourg, à la manière de Warhol à la fin de sa vie, joue de son image avec les médias, tout en entretenant dans l'intimité de la rue de Verneuil un goût toujours très prononcé pour la culture classique.

La scénographie
Le visiteur découvre un espace kaléidoscopique où miroirs et écrans se renvoient les images d'une époque en perpétuelle évolution. Une trentaine de piliers thématiques composés d'écrans, de photographies et de textes jalonnent son parcours, tandis qu'un environnement sonore conçu par Frédéric Sanchez fait entendre les textes et musiques de Gainsbourg intégrés dans leur contexte et leurs sources musicales.
Dans une longue vitrine sont présentés des manuscrits, oeuvres plastiques et objets
divers issus de l'univers polymorphe de l'artiste. La discographie de Gainsbourg
est aussi largement représentée dans l'exposition, permettant au visiteur de
voir et d'entendre les témoignages de son exceptionnelle créativité. À la médiathèque, l'exposition se prolonge par des dossiers d'écoute consacrés à ses oeuvres majeures.

Tarifs Entrée de l'exposition : 8 €

pot ensuite si ca vous tente

Participants

Ils étaient 1 participants



[La liste des personnes ayant participé à la sortie n'est visible que des personnes inscrites]


  Météo du site   Faites connaître AmieZ   CGU   Code de bonne conduite